Une Déclaration Pirate des Droits de l'Humain ?
Publié : ven. 07 déc. 2012, 17:22
Déclaration Pirate des Droits de l’Humain :
Peut-être pouvons nous rédiger une telle déclaration. Ceci peut avoir un double intérêt :
1 - Avoir un socle simple et commun de revendications et de communication. C’est quelque chose qui peut marqué et être remarqué. Ceci peut être un excellent moyen de montrer que nous ne sommes un vrai parti de et aussi d’engouffrer la discussion sur beaucoup de thèmes qui nous sont chers : égalité de droits, droit de propriété, respect de la vie, indépendance de la justice, ouverture des données publiques …
2 – faire prendre conscience que la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, tout aussi noble soit-elle, reste une déclaration partiale, pro-libérale, dominée par une conception patrimoniale que nous ne partageons pas.
Nous pouvons prévoir un comité ouvert de rédaction, où chacun est libre de le rejoindre ou de le quitter quand il le veut. Une fois suffisamment rédigé, cette déclaration pourra être soumise au vote des adhérents pour savoir si nous en voulons comme élément officiel du Parti Pirate, voir comme étendard commun.
Exemples de modification :
L’article 1 pourrait être plus percutant, plus réels
L’article 2 pourrait se voir rajouter un : Ces droits sont la liberté, la propriété, (l’échange ou le partage), la sûreté et la résistance à l'oppression.
Rendre possible l’article 6
Insister sur la personnalisation de la peine en droit pénal – art 9
Confirmer l’article 11
Faire quelque chose pour les articles 12, 13, 14
Parler d’ouverture des données dans l’article 15
Et surtout modifier ce diabolique article 17
Parce que si Mr Guaino estime, à tort, que : « A titre personnel, je trouve assez curieux que le droit d’accès à Internet soit plus fortement défendu que le droit d’accès à l’eau ou à l’électricité. On peut couper l’eau et l’électricité à n’importe qui très facilement. Mais l’accès au réseau internet, c’est une violation des droits de l’homme et – rendez-vous compte ! – de la Déclaration de 1789, dont vous vous souvenez d’ailleurs qu’Internet était une préoccupation de ses rédacteurs. » Nous pouvons lui prouver qu’avec internet, nous pouvons veiller aux respects des droits de l’homme.
Peut-être pouvons nous rédiger une telle déclaration. Ceci peut avoir un double intérêt :
1 - Avoir un socle simple et commun de revendications et de communication. C’est quelque chose qui peut marqué et être remarqué. Ceci peut être un excellent moyen de montrer que nous ne sommes un vrai parti de et aussi d’engouffrer la discussion sur beaucoup de thèmes qui nous sont chers : égalité de droits, droit de propriété, respect de la vie, indépendance de la justice, ouverture des données publiques …
2 – faire prendre conscience que la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, tout aussi noble soit-elle, reste une déclaration partiale, pro-libérale, dominée par une conception patrimoniale que nous ne partageons pas.
Nous pouvons prévoir un comité ouvert de rédaction, où chacun est libre de le rejoindre ou de le quitter quand il le veut. Une fois suffisamment rédigé, cette déclaration pourra être soumise au vote des adhérents pour savoir si nous en voulons comme élément officiel du Parti Pirate, voir comme étendard commun.
Exemples de modification :
L’article 1 pourrait être plus percutant, plus réels
L’article 2 pourrait se voir rajouter un : Ces droits sont la liberté, la propriété, (l’échange ou le partage), la sûreté et la résistance à l'oppression.
Rendre possible l’article 6
Insister sur la personnalisation de la peine en droit pénal – art 9
Confirmer l’article 11
Faire quelque chose pour les articles 12, 13, 14
Parler d’ouverture des données dans l’article 15
Et surtout modifier ce diabolique article 17
Parce que si Mr Guaino estime, à tort, que : « A titre personnel, je trouve assez curieux que le droit d’accès à Internet soit plus fortement défendu que le droit d’accès à l’eau ou à l’électricité. On peut couper l’eau et l’électricité à n’importe qui très facilement. Mais l’accès au réseau internet, c’est une violation des droits de l’homme et – rendez-vous compte ! – de la Déclaration de 1789, dont vous vous souvenez d’ailleurs qu’Internet était une préoccupation de ses rédacteurs. » Nous pouvons lui prouver qu’avec internet, nous pouvons veiller aux respects des droits de l’homme.