L'INPI censure la voix du Libre
Publié : mer. 21 avr. 2010, 20:29
Je relaie un appel qui s'est retrouvé sur la mailing list du /tmp/lab (le premier hackerspace Parisien)
En résumé, une expo sur la contrefaçon sponsorisée en partie par l'INPI devait présenter le monde du libre entre deux rappels que le partage de fichier revient à violer des enfants. Mais l'INPI a refusé catégoriquement que cette voix se fasse entendre. Aux pirates Parisiens, s'il y a un endroit où planter un drapeau du PP ait un sens, c'est sûrement au sein de cette protestation. Coordonnées disponibles par MP si ça vous intéresse.
Allez, les guignols de l'INPI se sentent vraiment plus pisser.
Je propose un piquet devant la Cité des Sciences pour :
1) informer les visiteurs de la censure
2) leur redonner l'info qui a éte censurée
3) montrer aux guignols de l'INPI qu'ils ne peuvent pas espérer faire
des conneries sans que ca se retourne contre eux.
---------- Forwarded Message ----------
Subject: [nettime-fr] Censure sans façons à l'expo "Contrefaçon"
Date: Tuesday 20 April 2010
From: Isabelle Vodjdani <vodjdani.isabelle@numericable.fr>
To: nettime-fr@samizdat.net
Bonjour,
Ce cas de censure du Libre à l'exposition "Contrefaçon" qui vient
d'ouvrir à la Cité des Sciences devrait sans doute vous intéresser :
"Contrefaçon" : La Cité des Sciences censure le Libre à la demande de l'INPI
"La vraie expo qui parle du faux" se soucie peu de parler vrai.
/RESUME : Une exposition aux intentions pédagogiques sur la
Propriété Intellectuelle, décrit toutes les formes de contrefaçon
mais censure les informations se rapportant aux pratiques licites du
Libre et de l'Open-Source. Si on avait voulu faire l'apologie des
pratiques illicites on ne s'y serait pas mieux pris !/
vous pouvez lire l'article ici :
http://www.transactiv-exe.org/spip.php?article141
N'hésitez pas à reprendre et relayer l'article sur vos réseaux; il est
sous Licence Art Libre![]()
Cordialement,
Isabelle Vodjdani
En résumé, une expo sur la contrefaçon sponsorisée en partie par l'INPI devait présenter le monde du libre entre deux rappels que le partage de fichier revient à violer des enfants. Mais l'INPI a refusé catégoriquement que cette voix se fasse entendre. Aux pirates Parisiens, s'il y a un endroit où planter un drapeau du PP ait un sens, c'est sûrement au sein de cette protestation. Coordonnées disponibles par MP si ça vous intéresse.