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Intervention de Amélia Andersdotter à l'Internet Governance

transparence, constitution, réformes structurelles...
nordine
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Intervention de Amélia Andersdotter à l'Internet Governance

Messagepar nordine » dim. 05 mai 2013, 06:38

Comme vous le savez, Amélia est une députée européenne du PP Suédois.
Son intervention à l'IGF 2012 mérite d'être traduite pour les non anglophone et les mauvais anglophones (dont je suis)
l'original se trouve à cette adresse http://www.intgovforum.org/cms/componen ... ticle/1249
Je me suis aidé de google translate pour la traduction.

AMELIA ANDERSDOTTER: Merci président, Mesdames et Messieurs, participants du Forum sur la Gouvernance d'Iternet 2012.
Mon Nom est Amelia Andersdotter. Je suis un membre du Parlement européen au nom du Partie Pirate suédois depuis Décembre 2011.
Je suis consciente du fait que je suis une des deux seules femmes qui parlent dans la session d'ouverture. De plus, je suis probablement la plus jeune intervenante. J'ai seulement 25 ans.

Le Partie Pirate veut changer le cadre législatif pour la communication, l'interaction, l'innovation et la culture. Nous nous sommes formés autour de l'idée que les technologies de la communication et de la culture présentent un moyen fantastique pour construire de larges communautés globales.

Nous voulons que les interactions sociales, culturelles et économiques soient déterminées et sous le contrôle des personnes qui interagissent.

Lorsque l'information, la communication et la culture peuvent être librement accessible et utilisé, ce qui sur Internet est à la base toujours le cas, cela devrait être autorisée et les exceptions ou dérogations à cette règle générale doivent rester exceptionnelles.

Malheureusement, les lois, tant au niveau de l'Etat qu'au niveau international sont très mal équipés pour réaliser ces objectifs.
Les interventions directes des Etats-nations dans la communication et les flux culturels de leurs citoyens sont omniprésents dans le monde.

Plus insidieux sont les restrictions sur les communications imposées aux utilisateurs par les opérateurs de réseaux privés ou les détenteurs de droits de propriété intellectuelle.
On entend des mots comme «liberté d'expression» et «droits de l'homme doivent être respectés en ligne", mais en fait jusqu'ici très peu de hautes personnalités politiques dans le monde ont reconnu, ou sont prêts à reconnaître que cela nécessitera une intervention réglementaire sur certains secteurs privé et aussi un laisser aller des entraves réglementaires que nous sommes en train de mettre en place pour bloquer les communications entre les personnes.

Il est clair pour moi à la fois au niveau personnel et au niveau politique que nous devons reconsidérer fondamentalement notre approche de la communication. Nous avons besoin que la communication soit ouverte et accessible. C'est comme cela que nous créons des amitiés, des sociétés, des mots.

Le contrôle sur les communautés et la possibilité de les façonner doivent l'être avec les communeautés elles même. L'infrastructure doit être régulée pour permettre à cette capacité et cette autonomie.

La matière première des identités culturelles, la culture elle-même, doit être rendue plus accessible que ce n'est actuellement le cas. Droit d'auteur n'est pas seulement un instrument prématurée pour le 21e siècle, il provoque des dommages à la culture et aux communautés du monde entier.

Lors d'un de mes voyages cet été J'ai rencontré un jeune homme qui m'a dit avec un visage impassible qu'il aimait trackers torrent ouverts parce qu'il veut être en mesure de voir les fichiers impopulaires. Je veux voir les fichiers impopulaires. Je veux voir les torrents impopulaires et je veux vivre dans un monde où un réseau social, une communauté de sa propre initiative préserve la richesse culturelle grâce à la contribution spontanée de tous ses membres. Tous les changements qui sont nécessaires dans nos lois pour s'assurer que ces communautés peuvent exister doivent être réalisées et maintenant.


A vous tous ici et à tous les gouvernements et les fonctionnaires et les lobbyistes qui n'ont pas pu se résoudre à soutenir ces réformes effectivement très vastes qui sont nécessaires à ces lieux et les communautés créatives pour exister, Je voudrais paraphraser George Michael en, je pense, 1992 "va te faire foutre, c'est ma culture et si les opérateurs du droit d'auteur ou les télécommunications sont debout sur ​​le chemin, je pense qu'ils devraient s'écarter." Je vous remercie.

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