Du grain à moudre : la pensée de Frédéric Lordon
Publié : mer. 02 oct. 2013, 22:29
Entre la 4ème minute et la 56ème minute, c'est vraiment à voir. J'aimerais bien connaître vos réactions.
Liberté, égalité, fraternité, culture, partage !
https://forum.partipirate.org/
Parce que ça fait peur de changer de Constitution ? Mettre le sujet sur la table comme on l'a fait ce n'était pas souhaitable ?
HD♥3 a écrit :Une vidéo qui surferait sur de la haine, qui serait pure démagogie, des arguments ?
Tywin a écrit :Donc ta solution pour sortir de la dette c'est le "remaniement administratif" plutot que de s'affranchir de la cause (la constitution européenne qui nous force à emprunter à des taux scandaleux, fixé par les marché, une monnaie qui est de toute façon créer de toute piece).
On rappellera que la moitié de la dette actuelle sont des intérêt bancaire, ce qui n'existai pas ou très peu quand la France se finançait elle même (épargne et autres).
Tywin a écrit :Quand à l'Euro, il nous laisse pied et poing lié car nous ne pouvons pas manier notre monnaie (dévaluation pour booster l'exportation, etc).
Tywin a écrit :Quand à l'austérité, si tu pense vraiment qu'elle n'est pas appliqué, compare les différence de pouvoir d'achat entre aujourd'hui et avant, les durée de cotisations? la réduction des remboursements en santé? Etc, Etc Etc...
Tywin a écrit :Lordon est l'économiste le plus pertinent de notre époque, et c'est le seule à détricoter la propagande néo-liberale des 40 dernières annés...
Sims a écrit :Et puis pour le "néo-libéral", tu repasseras... A moins que tu aies une définition?
Il faut rappeler que on ne remboursait pas la dette hein,... Donc il faut bien parler de "planche à billets".
Euh... c'est un peu l'intérêt. Après, tu peux toujours imaginer que la France roulerait sur l'or si on dévaluait. Mais c'est aussi faire fondre l'épargne aussi bien des plus fortunés que des petits épargnants (certains malhonnêtes expliquent sans sourciller que ça n’atteint que les plus fortunés, forcément, ils ont beaucoup de succès).
Mais que ça soit dans l'administration publique ou dans la santé, les dépenses ont toujours augmenté. Donc soit comme je l'évoquais plus tôt, tu considères un ralentissement de la hausse des budgets comme de l'austérité, ce qui est absurde, soit tu vois de l'austérité là où il n'y en a pas.
Tywin a écrit :Sims a écrit :Et puis pour le "néo-libéral", tu repasseras... A moins que tu aies une définition?
au harasrd -> http://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9olib%C3%A9ralisme
Tu peux lire ou écouter Ayn Rand, Thatcher, Milton Friedman, Ronald Reagan? tous se réclamait de cette doctrine, on parlera pas des Chicago Boys, j'ai l'impression de parler de choses assez connues...
Il faut rappeler que on ne remboursait pas la dette hein,... Donc il faut bien parler de "planche à billets".
tu est sarcastique? Outre le fait qu'on fonctionne déjà sur un système de planche à billet (sauf que c'est la BCE qui le fait tourner) il est évident aujourd'hui qu'on ne peut plus se financer sur les marché financier. Qu'il faut au moins lancer une audit de la dette afin de choisir ce qu'on va rembourser et ce qui ne vas pas l'être (au hasard, les intérêts des banques... ça fait déjà 50% en moins)
Pour la sécu je suis dans l'ensemble assez d'accord, mais tu n'obtiendras jamais assez d'économie pour rembourser la dette, on ne parle pas de la même échelle. Encore une fois, l'évasion fiscale c'est juste environ 20% du PIB. Quand au système américain, il est démontré qu'il est moins efficace et donc plus cher, même chez "l'économie en question il s'accorde dessus...
Euh... c'est un peu l'intérêt. Après, tu peux toujours imaginer que la France roulerait sur l'or si on dévaluait. Mais c'est aussi faire fondre l'épargne aussi bien des plus fortunés que des petits épargnants (certains malhonnêtes expliquent sans sourciller que ça n’atteint que les plus fortunés, forcément, ils ont beaucoup de succès).
Parle en au Grec, je suis sur que tes arguments sauront les convaincrent... eux il aimeraient bien pouvoir dévaluer justement...Parles-en aux Allemands des années 20... La dévaluation est une guerre sans fin. Laisser cette possibilité dans les mains d'un gouvernement quel qu'il soit est une hérésie puisque ce levier sera sur-utilisé pour donner "un peu de peps" aux exportations au détriment du prix des produits importés et donc du pouvoir d'achat des citoyens.Mais que ça soit dans l'administration publique ou dans la santé, les dépenses ont toujours augmenté. Donc soit comme je l'évoquais plus tôt, tu considères un ralentissement de la hausse des budgets comme de l'austérité, ce qui est absurde, soit tu vois de l'austérité là où il n'y en a pas.
Aurais tu oublié que la population croit? Et que par conséquent le budget alloué pour la gestion de la république croit lui aussi ? Incroyable non?! Donc oui, la non hausse des budget correspond à de l'austérité, de la même manière que la non hausse des salaires crée aussi de l'austérité...