en vrac
J/B a écrit :Tu as raison mais je voyais à un système moins vicieux : au lieu d'inciter les gens à financer les associations dans le but de réduire leurs impôts, je pensais plutôt d'offrir la possibilité d'affecter un pourcentage de l'impôt lors de la déclaration ou après réception de l'avis d'imposition.
Les gens accepteraient peut être plus facilement l'imposition.
Enfin, c'est une idée pas trop fouillée.
C'est intéressant comme piste, ça me fait un peu penser aux rewards de kickstarter, genre, votre nom sur la plaque de l’hôpital ^^
Ce qui est marquant c'est que l'on donne un pouvoir d'influence au citoyen. Si on l'oriente sur un projet locale, on peut même lui donner l'impression que sa participation à un impact plus direct sur la communauté.
Une sorte de crowdfunding étatique?
En tout cas, je pense que c'est vraiment important de faire accepter l’impôt et qu'il faut creuser cette piste
Sinon, je trouve que l'avantage des associations c'est que les gens s'y engage souvent par passion et donc apporte plus qu'une administration étatique souvent déconnecté ou indifférente aux problèmes qu'elle traite. Elle dispose aussi d'une marge de manœuvre plus large que les fonctionnaires. Une sorte de chainon qui apparait la ou l'état "providence" est im- ou peu puissant.
On pourrait systématiser la participation à une association en échange d'un "cadeau fiscale", les gens pourrait ainsi choisir plus directement le financement d'associations qui de toutes façon, sont toute, pour la plupart financé par l'état. Ceci dit je suis sur que tu te feras un plaisir de pointer les dérives qui pourraient être entrainé par un système de ce type. Elles sont nombreuses... mais n'avons nous pas, en tant que citoyen, un droit de regard sur la répartition des aides aux associations d’utilités publiques?
gna a écrit :je dérape un peu mais sur l'utilisation de nos impôts mais voila un cas précis :
cette semaine (lors d'une réunion pour la prise en charge d'un marché) l'attribution du budget n'est pas fixé pas le montants en besoin réel évalué sur le prix "du marché" mais on attribut une "enveloppe" et selon son utilisation elle sera augmenter ou diminuer , dans ce cas l'enveloppe est quasi systématiquement vider pour être sur que l'année suivante elle ne baisse pas..............
Moi je vois une solution toute simple à ce genre de dérive, un contrôle financier sur la pertinence de l'utilisation des enveloppes, notamment sur l'attribution des marché, le cout par rapport à la prestation fournie, etc. Systématique et rigoureux, parce que
la nature humaine les hommes sont corruptible, surtout dans le sud de la France :p
C'est lourd mais c'est sain, d'ailleurs, au passage, je pense que toute personne ayant des responsabilité publique (je ne sais pas bien comment formulé ça) devrait être systématiquement contrôlé financièrement. ça forcerait à réveler systématiquement les liens et les interet personnelle (et donc les conflit d'interet) et permettrait un meilleur controle de la corruption...non? (1984 pour les élu, c'est le monde à l'envers me direz vous)
D'ailleurs, ça me fait penser, il y a longtemps, j'avais entendue une émission de france inter ou le speaker parlait du fait que le nombre d'inspecteur des impôt était insuffisant pour lutter efficacement contre la fraude. Il soutenait notamment que le nombre d'agents fiscal n'avait pas évolué en fonction de la démographie et qu'il serait donc insuffisant.