Le principe est simple: actuellement, les citoyens payent des impôts, taxe... Qui servent à financer les institutions publiques ( et la dette, mais bon, c'est pas le débat). Certaines de ses institutions financent, via des bourses, des budgets, du matos ou des locaux des recherches scientifiques. Donc, car ils payent déjà des taxes, les citoyens ne devrait pas payer pour avoir accès à la conclusions de ses recherches. Le terme d'institutions publiques est a prendre au sens large, par exemple les fond de devellopement européen, l'état, le CERN, le CNRS, et tout les organismes partiellement public. En fait, ca marche un peu comme un virus, mais de façon positive: des que quelqu'un obtient le soutien d'un organisme public, sont études devient publique. Il serat évidemment prévenus à l'avance de cela. Les noms des chercheurs qui y ont participer et qui souhaite y être cité pourront évidemment être mis dans l'étude.
Bref, les études seront mises sous format libre, sur un site public. Ou tout les citoyens auront accès.
Attention, les études uniquement, pas de commentaire à propos des études comme dans "science et vie" ou "pour la science"! Ce serait un accès libre aux connaissances scientifique, tout comme le libre accès à la culture.
Il serait même possible d'appliquer ceci au niveau européen ( PP-UE

Conséquences possible: avec un libre accès à la science, l'innovation devrait augmenter de façon significative. J'ai bien dit devrait, je suis pas économiste!
La plupart des chercheurs seront d'accord ( j'en rencontre tout les jours ) avec ce principe car leur objectif est que leur études soit reconnu et d'être reconnu personnellement dans leur domaines d'expertise notamment pour avoir du travail.
Problème: il est possible que des chercheurs veulent garder leurs études secrètes, si ils peuvent la vendre ou si ils veulent garder secret un procédé de fabrication, mais cela devrait être peut fréquent.
De ce fait, seul les très grandes multinationales avec leur propres labos et qui ne demande jamais de soutiens des institutions publiques pourront éviter ce système.
Le monde de l'édition, type Gallimard, va faire du lobbying pas possible, vu qu'il ont un quasi-monopole de la diffusion de la connaissance scientifique.
Il est peut être possible d'appliquer ce système à d'autre domaines comme les sciences humaines par exemple, mais comme je m'y connais assez mal, je ne m'y prononcerais pas.
Alors?