Chauffeur de salle & censure
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- Que l'animateur demande ouvertement une ovation à un public qui s'ennuie, pourquoi pas ... mais que ces chauffeurs de salles indique de manière discrète et habile quand applaudir (et même réussir à moduler l'intensité des applaudissements) relève de l'escroquerie et non pas de la censure.
- Cacher la vrai réaction des spectateurs (ennui, vanne qui ne fait rire personne ...) suite aux échanges des animateurs est en réalité une forme de censure très habile !
- Ammener les spectateurs à un niveau de docilité volontaire relève plus de la manipulation que de la censure ! (les sectes utilisent ces mêmes techniques pour obtenir un asservissement consentant).
Votre définition de la censure, sur ce sujet, me surprend et je n'arrive pas à comprendre !
Rire enregistré
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Vous avez raison et je corrige cette proposition :
il est interdit d'ajouter une bande sonore de rires ou lamentations d'un public qui n'a pas assisté réellement à la projection de l'oeuvre (sans rire et lamentation, cqfd). L'enregistrement de cette bande son est effectué sous le contrôle d'un huissier de justice qui vérifiera que le public est libre et non manipulé, avant ou pendant la projection, par un (ou plusieurs) chauffeur de salle immissé parmis les spectateurs. La supperposition de cette bande sonore à l'oeuvre de base est appliqué intégralement (sans mixage avec d'autres enregistrements de spectateurs assistant à la même oeuvre dans une autre salle ou avant ou après)
Est-ce toujours de la censure ?
Placement des spectateurs
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Je n'ai jamais vu des handicapés mentaux et leurs accompagnateurs, je n'ai jamais vu une rangée d'homme et de femmes obèses, je n'ai jamais vu des moches derrière les animateurs vedettes à 21h !
Cet agencement "aryen" des spectateurs à ces émissions (privées ou publiques) est clairement d'inspiration fasciste (point godwin inside).
L'intégralité des supports ayant servis à construire un article sont mis à disposition des lecteurs
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Impossible à mettre en oeuvre. ok ! Je n'arrive pas a formuler cette idée pour le moment, mais c'est dans la même veine que la photo "originale" .... a revoir.
L'idée est la suivante : si le journaliste cite une phrase d'un texte ou d'un enregistrement sonore ou vidéo *publique*, alors le lecteur doit être informé de la manière d'accéder à ces sources (et juger du professionnalisme du journaliste qui a retranscrit cette information).
L'idée n'est pas d'obliger les journalistes à divulguer leurs correspondances privées.
Autre proposition :
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Sur le thème des canulards :
- La personne ayant subis un canulard audio ou vidéo est obligatoirement rémunéré à chaque diffusion de cette oeuvre originale. Le pourcentage sur les recettes est défini par la loi. La personne est libre de mettre fin au consentement éclairé de l'usage de son image à tout moment quel que soit la nature du contrat qui le lie au producteur.
Attention à ne pas étendre cette idée aux journalistes.
Cdlt
Ami44
