Olivier Soares Barbosa a écrit :Rahlala... mdr les Grecs pratiquaient le coït intercrural qui consiste a placer le sexe dans le pli de la cuisse. Il y en a quelques représentations sur des poteries... bref c'est pas une position où l'un est pénétré par l'autre. Il y a beaucoup de possibilité dans l'amour
Fort probable. Éviter la pénétration permet d'éviter l'(hypothétique) infériorité.
Je ne pense pas qu'il y ait eu de notion de honte à avoir des relations entre guerriers. C'est corroboré par rien à ma connaissance. Ce qui ne veut pas dire que tu aies tort, notamment en ce qui concerne la pédérastie. L'homosexualité possèdait ses institutions propres, mais je suis pas vraiment d'accord avec la tendance qu'on a de vouloir rabaisser la sexualité dans l'antiquité en mettant l'accent sur ces questions de rapports de domination qui sont toujours assez difficiles à appréhender en y plaquant une conception moderne à mon sens décalée.
Bien que je te l'accorde il est difficile d'analyser a posteriori surtout avec si peu de témoignage et un si grand temps entre les deux, cependant, il me semble bien que la domination/soumission ont un grand rôle social, quand notre conception tend vers l'égalité.
C'est vrai que des attitudes très effeminées n'étaient pas officiellement encouragées. ça ne signifie pas qu'elles n'existaient pas.
Je n'ai jamais défendu le contraire, mais ce n'est pas parce qu'une chose est peu visible, voir cachée qu'elle caractérise la société. Il y avait des enfants illégitimes alors mêmes que c'était réprouvés moralement il y a encore peu de temps.
Pour les types d'homosexuels masculins, j'ai le sentiment qu'il y a en réalité une large palette d'orientations et d'identités. Il y a des très virils qui aiment les très virils, des androgynes qui aiment les androgynes, des androgynes qui aiment les virils...etc. Tout est possible, tout est multiple, tout est nuance...
Je ne parlais pas de préférences, de goûts mais d'agissement (actif/passif). Bien qu'il n'y ait pas que deux, il y en a deux principalement.