Comme chacun le sait, il est courant que les agences luttant contre le piratage des œuvres protégées envoient des missives aux téléchargeurs repérés afin qu’ils paient une amende afin que la « faute soit réparée ». Cependant, aucune étude sur la rentabilité du système n’avait été publiée, jusqu’à récemment.
C’est ici qu’apparait l’étude de l’agence d’anti-piraterie allemande DigiRights Solutions (DRS), et le constat est affligeant : une chanson piratée rapporte 150 fois à l’éditeur qu’un téléchargement au sein d’un plateforme légal.
http://www.journaldupirate.com/?p=3548