Un article de la revue Environmental Health Perspectives révélait ainsi récemment que l’on dénombrait à ce jour 45 sites -dont 5 en Europe- où des nanoparticules étaient utilisées afin d’assainir les sols et eaux souterraines pollués (cf. la carte qu’en a tirée le PEN), alors même que le rapport de 2004 préconisait de l’interdire tant que des études n’auraient pas établi que ce type de dispersion était sans danger.
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