Des nanoparticules peuvent endommager les cellules humaines, notamment leur ADN, même à l'abri d'une barrière cellulaire. La démonstration de leur génotoxicité in vitro est rapportée par Gevdeep Bhabra (Southmead Hospital, Bristol) et ses collègues dans un article publié en ligne, jeudi 5 novembre, par la revue Nature Nanotechnology. Un effet indirect à double tranchant : un risque toxique inédit, mais de possibles actions thérapeutiques nouvelles.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2 ... _3244.html