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Publié : mar. 24 nov. 2009, 04:04
par Conundrum
ANALYSE - Alors que les pays du Nord de l'Europe mise tout sur l'e-democratie, la France semble bien en retard en matière d'utilisation d'Internet. Mais est-ce vraiment dommage?...
Pas facile d'intéresser le citoyen à la vie politique. Les débats ne sont pas toujours passionnants. Leur traitement médiatique parfois indigeste. Leur utilisation du Net souvent rudimentaire. Les pays du Nord de l'Europe rivalisent d'ingéniosité pour attiser la curiosité du citoyen lambda. Alors que la Finlande fait de la politique un jeu avec ses sélecteurs de candidats, l'Estonie fait venir l'isoloir chez l'électeur grâce au vote par Internet.
En France, plusieurs initiatives existent.
http://www.20minutes.fr/article/364688/ ... s-tort.php
Publié : mar. 24 nov. 2009, 19:23
par Rackham
D'un autre côté, la France a déjà largement expérimenté de manière cocasse du "e-voting" par internet, avec des bécanes sous windows pas vraiment sécurisées, des envois "d'urne électronique" sur CD par la poste au dessus de l'Atlantique… (scrutin pour le conseil des français de l'étranger, prud'hommes…) La cnil en est très fière (en tout cas l'était), la pratique démocratique un peu moins…
Pour la retransmission de débats types conseil municipaux/généraux/régionaux, c'est à la discrétion des élus qui président les dites assemblées.
Publié : jeu. 26 nov. 2009, 23:38
par Raphaël Florès
http://www.20minutes.fr/article/362921/ ... s-reel.phphttp://www.20minutes.fr/article/362917/ ... ountry.phpJe trouve qu'on manque un peu d'études sur le sujet. Quelqu'un se propose pour rédiger une petite synthèse sur la protection des données en Estonie ? Ca m'a l'air plutôt pas mal :
La question de la protection des données privées ne se pose pas en Estonie. Longtemps sous férule soviétique, le pays porte encore les stigmates de l'utilisation abusive du secret. Les Estoniens ne veulent rien avoir à cacher. «Je ne vois pas où est le problème. Chaque citoyen a accès à la liste des personnes ayant consulté son profil. Il peut ainsi vérifier qu'il n'y a pas d'abus», souligne le directeur de Demo. «Si quelque chose ne va pas, il peut alors porter réclamation afin de savoir pourquoi telle ou telle personne a consulté ses données», précise-t-il, ne comprenant pas pourquoi un tel système étonne des journalistes français.
Publié : ven. 27 nov. 2009, 15:17
par pers
Euh, Raphaël : c'est très intéressant mais ça mériterait peut-être un nouveau topic ?
Publié : ven. 27 nov. 2009, 15:27
par Raphaël Florès
Je ne sais pas, c'était sur l'article concerné par ce topic.