L'article commence par une intervention de M Jérémie Zimmerman estimant que ce qui pousse le secret du traité est la volonté de contourner les opignions publiques puis par un seconde de Mme Heumber.
Il revient ensuite sur les différentes organisation ayant accès au traité, tel la
MPAA, la
RIAA, l'
IIPA(en), la
BSA ou l'industrie pharmaceutique, un négociateur Européen anonyme indique qu'ils n'ont rien à cacher et que c'est la forme normal de traitement pour les traités internationaux, même s'il a signé un accord de non-divulgation.
L'article continue en rappelant le but fondamental du droit d'auteur et des brevets qui est d'encourager l'innovation, mais indique ses différentes évolutions et renforcements favorise les pays du Nord, qui ont les centre de recherches, le savoir et les brevet, au détriment des pays du sud qui ne sont plus bon qu'à être les producteurs des produits imaginé au nord.
L'article revient sur le passé des pays souhaitant le durcissement des droits d'auteurs, en effet, jusqu'à la fin du XIXe siècle, les États-Unis ne reconnaissait pas de copyright sur la musique d'origine anglaise, permettant sa libre copie, de même pour la Suisse qui a largement copié l'industrie chimique Allemande du XIXe siècle avant de défendre avec acharnement ses propres brevets.
Une sonde partie donne les effets malsain de ce type de durcissement, comme les médicaments génériques qui ne peuvent plus être produit, ou arriver à bon port, de même, de tel durcissement peut bloquer la création, car personne ne pouvant créer sans enfreindre de brevets. Enfin, nous avons pour terminer une évolution des discutions sur le droit d'auteurs depuis les années 80-90 ; l'
OMPI n'arrivant plus à trouver de subterfuge afin de faire adopter les durcissement du droit d'auteur par les pays en voie de développement (Amérique du Sud et Chine entre autre), celui-ci est amené à traité en secret en espérant forcer la main aux gouvernement nationaux une fois le traité signé, d'ailleurs, on rappel que la
DADVSI, mis en place en 2006 chez nous date d'un traité de 1996, qui n'est autre que le
DMCA américain.
Le seul moyen pour stopper ce type de traité étant de le porter en plein jour, cette stratégie dites de Dracula ayant fonctionné pour l'
AMI.