NON, vous n'avez pas été "piégé" par le journal Minute (vous saviez exactement où vous mettiez les pieds et pourquoi),
Piégé car mal placé pour envoyer chier le journaliste.
NON, vous n'avez pas coupé les ponts avec votre famille frontiste (puisque votre papa joue les attachés presse auprès de torchons d'extrême-droite),
Je n'ai jamais prétendu avoir coupé les ponts, et je n'ai pas du tout l'intention de le faire. Mon amour familial est plus fort que des désaccord politique.
J'ai dit et je répète que je me suis éloigné de ce "milieu" depuis plus de 15 ans. J'y ai encore quelques amitiés solides mais aucun engagement.
Mon père n'a pas joué les attachés de presse à mon service, il a joué les entremetteurs au service de Minute. Nuance.
Il m'a un peu jeté dans la gueule du loup et je me suis déjà expliqué sur ce point avec lui.
NON, vous n'avez pas changé de nom dans le cadre de votre évolution politique personnelle (puisque vous portiez _déjà_ ce nom lorsque vous avez diffusé votre création à la gloire de Jean-Marie Le Pen).
J'ai changé de nom pour qu'on me foute la paix et j'ai changé de nom pour avoir mon premier emploi, c'était une condition de la personne qui m'a embauché !

J'ai changé de nom à cause de sectaires qui jugent au pédigré, c'est une forme de racisme qui n’honore pas ceux qui le pratique.
Le nom de ma mère, qui m'avait servi de pseudo par le passé, était le seul "disponible" facilement a l'état civil (sans passer par les tribunaux, démarche nécessaire si on choisit un autre nom)
Autre exemple : vous avez commencé par nous expliquer que ce jeu était, en gros, une erreur de jeunesse (vous n'étiez, avez-vous dit, "même pas majeur" : FAUX, et la justice vous a jugé et condamné en tant que tel).
Cela c'est fait sur l'année scolaire de ma terminale, j'avais 18 ans.
Regrettez vous toutes vos erreurs de jeunesse ? Vraiment ? Moi je peux vous dire que j'en ai fait des conneries, mais celle que je regrette sont très rares !
Ces procès d'intention commencent à me fatiguer, et votre haine du facho vous aveugle.
Votre ton d'inquisiteur - comme le papier de mediapart - justifie mes positions, j'ai grandi en subissant cette haine et j'ai appris à m'en protéger par la discrétion.
Philippe