La loi Loppsi 2, votée en 2011 et remaniée l'an dernier, a donné de nouveaux moyens de surveillance électroniques aux services antiterroristes français. Mais ces outils ne sont toujours pas utilisés, faute de logiciel, relève France info, lundi 11 mars.
La loi autorise les enquêteurs à placer des logiciels de type "cheval de Troie" sur les ordinateurs de suspects, sous le contrôle d'un juge d'instruction, dans des affaires de terrorisme, de criminalité et de délinquance organisées. Ces outils permettent d'espionner un suspect au moment où il agit sur son ordinateur, avant un éventuel cryptage des données, dont l'analyse a posteriori peut prendre de longues semaines.
Dans la série "vie privée? Quel vie privée?" Voici le petit dernier.