Elections du Grand Conseil Berne : petite déception
Publié : lun. 29 mars 2010, 09:25
Malgré une campagne assidue, le Parti Pirate n'a pas réussi à obtenir un siège hier au Grand Conseil bernois. Notre jeune parti, qui milite pour une évolution numérique réussie, continuera cependant à faire connaître son programme au plus grand nombre et à présenter des candidats.
Après un premier succès étonnant le 7 mars dernier avec un siège municipal à Winterthour, le Parti Pirate qui n'existe que depuis juillet 2009 espérait conquérir une part du législatif du canton de Berne. Il lui faudra encore du travail et de la patience. Néanmoins pour les Pirates, la campagne pour le Grand Conseil a été une importante formatrice pour toutes les élections et actions ultérieures. Ce n'est qu'ainsi qu'il peut acquérir de l'expérience dans la campagne pour progresser dans les élections futures.
« Nos 0.7% sont un petit mais un bon résultat, parce que nous partons de rien et que le Parti Pirate n'est pas encore suffisamment connu. Nous n'avions qu'un tout petit budget et étions sans expérience de campagne. Mais il est évident que nos problématiques sur le numérique, la vie privée, la transparence ont déjà un écho, comme vous pouvez le voir dans nos résultat. Et bien plus que cela, il y a un besoin de débat public. Donc c'est clair pour nous : "Nous sommes nécessaires!" » a commenté Denis Simonet, le président du Parti Pirate Suisse.
Après un premier succès étonnant le 7 mars dernier avec un siège municipal à Winterthour, le Parti Pirate qui n'existe que depuis juillet 2009 espérait conquérir une part du législatif du canton de Berne. Il lui faudra encore du travail et de la patience. Néanmoins pour les Pirates, la campagne pour le Grand Conseil a été une importante formatrice pour toutes les élections et actions ultérieures. Ce n'est qu'ainsi qu'il peut acquérir de l'expérience dans la campagne pour progresser dans les élections futures.
« Nos 0.7% sont un petit mais un bon résultat, parce que nous partons de rien et que le Parti Pirate n'est pas encore suffisamment connu. Nous n'avions qu'un tout petit budget et étions sans expérience de campagne. Mais il est évident que nos problématiques sur le numérique, la vie privée, la transparence ont déjà un écho, comme vous pouvez le voir dans nos résultat. Et bien plus que cela, il y a un besoin de débat public. Donc c'est clair pour nous : "Nous sommes nécessaires!" » a commenté Denis Simonet, le président du Parti Pirate Suisse.
