Suite à la publication de cette vidéo sur le site de l'ATILD, et étant donné la proximité de nous idées, je propose un comminiqué de presse pour la relayer.
(http://latild.com/index.php)
Ne souhaitant pas jouer le jeu du yakafokon, je prend sur moi d'en proposer un:
L'ATILD et la ligue ODEBI appelle les ayant-droits à négocier
L'Atild(lien) est l'association qui s'est constitué à l'annonce de l'emprisonnement imminent (en préventive) de Zac pour son rôle d'administrateur de la plate-forme d'échanges de liens Wawa-Mania.
En même temps qu'elle lève des fonds pour payer la caution de Zac, elle dit rassembler aujourd'hui les plus gros sites de téléchargement et d'échange.
La copie de fichier, l'échange, le téléchargement et les autres formes de partage sont maintenant des pratiques bien en place sur internet. Des millions d'heures de musique et de vidéo ont été numérisés dans des formats ouverts (mp3, divx) par des bénévoles. Les protocoles d'échange ont été conçus, mis en place et améliorés. Des personnes investissent temps et argent dans le développement de logiciels clients et la mise en place de plateforme de partage. Toutes ces initiatives et tendances sont faites en dépit des ayants droits et du législateur qui continuent de criminaliser tous ces acteurs.
Imprégné de ces évidences, l'ATILD, associée à la ligue ODEBI, donne l'opportunité à l'industrie culturelle... de Négocier. Nous avons des solutions, contactez-nous appellent-ils dans une vidéo choc mise en ligne sur leur site et envoyée aux principales sociétés d'ayants droit.
Il est effectivement temps que l'industrie culturelle accepte de laisser ses clients consommer leurs produits de la façon dont ils l'entendent, et de passer de la logique du tous des pirate à celle de le client est roi, de passer du monopole de distribution de leurs œuvres à une distribution libre dynamique confrontée à la concurrence. De nombreuses études sont aujourd'hui là pour démontrer que l'effet du piratage sur les revenus de l'industrie culturelle est, au pire, nul, et au mieux : positif.
Le Parti Pirate français, qui soutient Zac et les efforts de l'ATILD, relaye donc cet appel et joint sa voix à la leur : il est encore temps de négocier, il existe des solutions.