L’UPFI, qui représente les producteurs phonographiques français indépendants, a publié en fin de matinée ses propositions à la mission Zelnik sur l’offre légale. Comme d’autres ayants droit, dont la SACEM, elle estime que la loi HADOPI 1 ou 2 ne va pas « épuiser le débat sur la nécessaire construction d’un nouveau modèle économique de la musique à l’ère numérique ». En clair, la peur du gendarme (ou de l’autorité indépendante) n’alimentera pas suffisamment les caisses et ne conduira pas les consommateurs à se ruer sur les sites de téléchargements payants.
http://www.pcinpact.com/actu/news/53476 ... s.htm?vc=1