Raphaël Florès a écrit :Quand bien même 99% des entreprises ne sont pas en bourse, le 1% restant constitue une part trop importante du PIB pour ne serait-ce qu'envisager sérieusement cette fermeture.
D'après toi, quelle est la première chose que l'on ait fait après le 11 septembre 2001 ?
Fermer la bourse pendant quatre à sept jours pour éviter un affolement.
On en est pas mort.
Je pense que ce que daniel veux dire c'est que la bourse n'est qu'un réceptacle du système d'offre et de demande. Cepedant, mais si la bourse n'est pas responsable de tout, les banques ont par exemple bien aidé dans la crises des subprimes en proposant des prêt hypothèquaires de plus en plus élevé à des personnes n'ayant pas les moyens. Cependant, ces prêts étant titrisé via des formules mathématiques imbuvables et le tout étant joué en bourse, la folie spéculative autour des subprimes à aussi éclaboussé la bourse.
Pour le coup de la rentabilité à court ou long terme il y à aussi le problème que pour appâter les investisseurs, il faut avoir des cours en bourses acceptable, voir en augmentation, or dans les années 1990 certaines sociétés américaines n'avaient pas hésité à indexé une partie des salaires de leurs cadres sur la valeur boursière de l'entreprise, donc pour augmenter leurs salaires, les cadres de ces entreprise n'hésitaient pas à prendre des décisions court-termistes qui ont mené plusieurs société à capoter.
Pour la crises des NTIC des années 2000 le problèmes est purement boursier puisque dût à des informations non symétrique, les experts disaient aux gens "achetez du Kasskooye" (ou autre start-up) mais entre-eux, ils savaient que cela ne valait rien, puis on découvrit le pot aux roses. Ceci dit, dans ces mêmes années il y avait pas mal de trucage comptable dans des sociétés des États-Unis, ce qui n'as pas dût arranger les affaire desdites sociétés quand la chute des courts fût venue.
Responsable de tout la bourse ? Peut-être pas, mais bien souvent coupable de complicité.