Je ne corrèle pas choc pétrolier avec chômage, pour nous plus le choc est violant et meilleur se porte la branche et nos salaires.
Donc pour trouver une théorie qui concilie chômage et crise/chocs , je dois suffisamment généraliser pour dire l'inverse de ce que je vie/vois, quitte à faire le fossoyeur qui se plaint de la mort.
Pour moi la crise, n'est qu'un moyen de faire tomber les arbres malades, laissant la place à une luxuriance de nouvelles entreprises, qui se nourrissent de celles ayants fermées (machines, locaux et équipements à faibles couts). Et c'est encore mieux si dans sa chute, l'arbre tue quelques parasites opportunistes.
La seule contrainte est de donner le terreau nécessaire à l'émergence des nouvelles entreprises. Et c'est là que la connaissance accessibles à tous et l'accès libre aux techniques est indispensable.
Donc sur ce lien entre choc/crise et chômage, nous ne nous rejoindrons pas. Ce qui, pour autant, n'argumente pas plus dans mon sens.
On peut se demander par qu'elle ineptie, une réparation coute plus cher qu'une fabrication. Peut être parce que le différentiel entre le salaire ou les contraintes législatives, normatives et écologiques, entre le pays de fabrication et le pays d'utilisation, en est une.
J'en donne pour preuve que je ne jette pas ma voiture à la première panne. Le prix n'est pas le même, mais ne devrions pas traiter les objets avec le même intérêt, pour assurer la pérennité du système ?
Par contre, l'exemple qui porte sur la ré-installation et la réparation d'un ordinateur ne porte que sur la partie logicielle et non matérielle.
L'inefficacité d'un logiciel "immatériel" n'engendre pas de déchets localisés dans l'espace de vie de l'utilisateur. Tout au plus de la pollution par la production d'énergie nécessaire à cette sur-consommation pour une tache identique.
Je continu donc a être persuadé de l'intérêt de réparer les choses, plutôt que de jeter.
J'aime bien l’interversion de jotak sur le capitalisme. Mais pour le RU, le terme de chômage renvoit pour moi à l'absence de travail, or les membres de cette société pourraient-ils s'en satisfaire ? Quel est l'intérêt de vivre lorsque que le minimum est dû ? Le bonheur matérialiste peut-il se rassasier de cette situation ?
N'est ce pas une forme d'esclavage que de se laisser nourrir gratuitement par la société, et de lui abandonner sa liberté de vivre (ou pas) de son travail ?
Et pour moi, l'automatisation est une contrainte provoqué par les découvertes technologiques.
Sans la maitrise des aciers, et donc de la physique des éléments qui les composent, pas de révolution industrielle, ni d’automatisation des productions.
Sans physique quantique, pas de révolution informatique, ni d'avènements de l'ère de l’intelligence artificielle ou du remplacement des humains dans les taches répétitives.
Donc du chômage provoqué par toutes nouvelles avancées technologiques.