La gestion collective prônée par la mission Zelnik pour le téléchargement et le streaming provoque des remous au sein de la filière musicale. Le but de la mission présidée par le patron de Naïve est justement de libérer la croissance du secteur, quitte à déplaire aux éditeurs phonographiques… Ces derniers se battent de leur côté pour préserver leur droit exclusif d’autoriser sur l’internet, même si certains semblent enclins à réfléchir au sujet. Nous proposons ici une mise en perspective de cette proposition, en nous appuyant sur quelques résultats d’une étude sur l’économie de la musique numérique que nous finalisons.
http://www.electronlibre.info/La-licence-radicale,00582