Quelques jours seulement après qu’Hillary Clinton, secrétaire aux Affaires étrangères des États-Unis, ait prononcé son discours sur la liberté d’Internet, la plateforme en ligne de logiciels libres (open source) SourceForge.net, a bloqué l’accès aux adresses IP (adresses Internet) provenant de Cuba, d’Iran, de Corée du Nord, du Soudan et de la Syrie.
SourceForge s’est justifié en disant que son hébergeur respectait la loi américaine. À quelque chose près, le gouvernement chinois avait dit la même chose quand il était question de la censure d’Internet en Chine.
La Chine a déjà censuré SourceForge.net par le passé. Informés de la nouvelle “muraille” américaine de pare-feux informatiques, des informaticiens chinois se sont demandés si, désormais, ils ne seraient pas victimes à leur tour de la censure américaine et s’interrogent sur ce qu’ils peuvent faire à ce sujet.
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