Mais c'est plein de perles (de naïveté)

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Pourtant si fière de son modèle démocratique, la France a longtemps traîné des pieds pour rejoindre le mouvement de l’OpenData.
Enfin, la France est surtout fière de faire croire qu'un modèle démocratique qui arrive à plaire à la Chine et à l'Iran.
La France et la plupart des pays d’Europe méditerranéenne restent très conservateurs en matière de données publiques.
Il faut dire que Bettencourt n'est que la partie visible de l'iceberg. Droite et gauche : même combat. Ils se tiennent tous par la barbichette pour cacher les dessous de table et les abus de bien sociaux.
Sachez qu'il y a un rapport interne de la cour des comptes et un rapport officiel externe, allégé et anonymisé ; c'est à dire que tous les noms y ont été enlevé : pas très transparent quand il s'agit de l'argent public...
Les archives historiques françaises ont le record du monde de délai d'inaccessibilité au public. Les livres historiques qui parlent du régime de Vichy ont été fait à partir des archives allemandes qui elles sont accessibles (et ce n'est pas glorieux pour la France).
Le plus gros secret réservé qui devrait être public : les prix de l'immobilier. Seuls la FNAIM et les notaires (qui sont des professionnels indépendant) savent les prix réels de l'immobilier. Or selon son ex-président la FNAIM ment régulièrement sur les prix réels de l'immobilier. C'est bien entendu le phénomène des prophéties auto-réalisante sur les marchés : si on annonce un début de baisse de prix, tous les vendeurs vont baisser leur prix. Les notaires quant à eux annoncent les prix avec 6 mois de retard (contre 3 pour la FNAIM) ; ce qui est bien trop tard pour les acheteurs. Tout ce manque d'information est l'une des causes du manque de logements ; si les informations ne sont pas assez claires et rapides pour les professionnels, l'investissement dans la construction d'un immeuble est trop hasardeux.