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Publié : mar. 03 nov. 2009, 13:05
par Conundrum
Ils pourront ainsi bénéficier des aides de l'État à la presse.

C'était la mesure phare que souhaitait mettre en place Bruno Patino, l'un des rapporteurs des États généraux de la presse en présentant en janvier dernier son livre vert. C'est aujourd'hui chose faite. La loi Hadopi 1 du 12 juin 2009 a créé le statut d'éditeur de presse en ligne. Depuis vendredi, un décret d'application, publié au Journal Officiel, définit en détail ce qu'est un service de presse en ligne et par voie de conséquence le statut d'un éditeur de presse. «À travers ce nouveau statut, l'idée du gouvernement est de reconnaître les services de presse en ligne au même titre que ceux, déjà existants, des services de presse papier», précise une source ministérielle. Le but étant pour le gouvernement de soutenir économiquement cette nouvelle profession d'éditeurs de presse sur Internet. Or, comment soutenir une profession quand les sites web des différents journaux sont noyés au milieu de millions d'autres, sans statut distinctif.

http://www.lefigaro.fr/medias/2009/11/0 ... tatut-.php

Publié : mar. 03 nov. 2009, 13:44
par cwicket
Mais où va-t-il chercher ces infos ^^

Publié : mar. 03 nov. 2009, 15:44
par Conundrum
Ouais, spa une référence, le Figaro. Et quelle objectivité, dans cet article :)

Publié : mar. 03 nov. 2009, 16:28
par Rackham
Mouais…
A la base c'était pour compenser le prix du papier, là c'est pour la BP ? (insert clown here)

Je ne nie pas les difficultés de la presse en ligne, mais on continue de reproduire de vieux schémas et de vieille compromissions (même si le mot est un peu fort en l'espèce).

Publié : mar. 03 nov. 2009, 17:08
par Conundrum

Publié : mer. 04 nov. 2009, 05:47
par Rackham
D'ailleurs, lors des "états généraux de la presse" mis en scène par l'Elysée, les oubliés de services étaient les médias en ligne. Comme ça a bien gueulé, on leur a fait un strapontin histoire de, mais au final, c'est la presse papier qui mène la danse avec ses tics et ses habitudes. Là c'est flagrant.

J'attends la mise en place des NMPEL, qu'on rigole.