La montée en puissance de l’internet en général, et de Google et Facebook en particulier, ont fait du “droit à l’oubli” l’alpha et l’oméga du débat autour de la vie privée. Mais la question, tout comme les termes du débat, a bien mal été posée.
D’une part parce que le problème, ce n’est pas l’internet, mais ce que peuvent y faire et y écrire (ou pas) les internautes. D’autre part, parce que s’il y a bien montée en puissance de la société de surveillance, l’internet y apparaît non pas tant comme une partie du problème que comme une partie de la solution.
http://www.internetactu.net/2010/06/03/ ... veillance/