gna a écrit :j'avais ouvert ce sujet pour y faire venir les intervenants dont je citais les expressions, mais il semble qu'ils préfèrent pousser des crie d'orfraie dans les sujets ...
Tu l'avais dit que tu avais ouvert ce sujet ? Parce que, désolé, mais je l'avais raté.
Sinon, je suis assez en ligne avec OSB.
La sanction, pourquoi pas, mais seulement après avoir épuisé toutes les ressources de la discussion, dialogue, explications, désambiguation etc.
Mais, après 5 minutes de discussion, commencer à traiter les propos d'un contradicteur de
faute(s),
lui demander des
excuses, demander des
sanctions contre lui, demander que le parti du gars s'excuse, etc
c'est juste complètement nawak.
On est où là ? au PP où avec la marquise de Pompadour et sa cour qu'il ne faut pas froisser sous peine de lèse majesté ?
Soyons sérieux, c'est pas comme ça qu'on
débat.
Il y a un moulon de gens, hors ou dans le PP qui ont un vrai problème avec l'expression de la contradiction. Refringué bien sûr avec toute la bien-pensance qui va bien. ... C'est pas demain que je me laisserais intimider par ces comportements
trépignants infantiles.
(De toutes manières, j'ai jeté un coup d'oeil au fil initial. Le caractère caricatural de certaines interventions n'a pas tardé à émerger.)
De manière générale :
1/ je suis ok pour traiter les mineurs comme des mineurs.
Mais pour les adultes non, à moins qu'on considère que le passage au stade adulte est une fiction, et que nous sommes d'éternels enfants.
2/ il y a un point que les adeptes des régulations tierces obèrent systématiquement. Peut-être ne le voient-ils pas ?
Le régulateur, applicateur de sanctions etc, c'est ni Jésus-Christ, ni le père Noël,
c'est un ou des couillons subjectifs, faillibles, etc comme nous tous. Pas moins, et pas plus.
Hier, tu a écris "loi de la jungle".
Sous-entendu, régulé, ça ne peut être que mieux.
Ben c'est juste faux.
Je suis quelques fils sur les horreurs commises par tout le milieu "gentille assistance sociale publique" qui se substitue aux méchantes familles privées.
... le remède y est souvent pire que le mal (ou mal prétendu).