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Résistance
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Messagepar Résistance » mer. 22 juil. 2009, 22:02

Vraiment pas bête et marrante comme idée, finalement quelqu'un qui a acheté un seul film à la base, peut en regarder un différent tous les soirs. Mais n'y aurait-il pas moyen de faire une banque du troc ou est-ce bien le système dont vous parlez ?
Genre en s'inscrivant, on dépose "une oeuvre" dans cette banque (ou plus), on obtient un point pour chaque dépôt qu'on peut échanger contre une autre oeuvre, on la rend, à nouveau un point, échangeable de même, etc... Comme ça, on choisirait notre futur troc dans une banque d'oeuvres dispos (dès qu'elles sont remis en banque en fait) et ça éviterait de pénaliser ceux qui y déposent ou viennent "d'échanger" des oeuvres plus intimistes. Avec un nombre conséquent de gens ça pourrait être intéressant.
C'est faisable ça ?
Dernière édition par Résistance le mer. 22 juil. 2009, 22:03, édité 1 fois.
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Messagepar domil » mer. 22 juil. 2009, 22:21

jbigwood2 a écrit :Comme tu dois certainement le savoir, les vitesses de téléchargement sont supérieures en réception (download) qu'en émission (upload). De là découle la remise en partage des fichiers sélectionné visant à constituer plusieures "sources". Emule, Bittorrent et certains autres P2P travaillent ainsi et permettent dès lors des vitesses de téléchargement ultra rapide (si pour autant il y ait des "sources" assez).

Juste une précision : l'asymétrie des débits n'est qu'une limitation technique de l'ADSL. Le SDSL est symétrique par exemple. Ce n'est pas un principe d'Internet.

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Messagepar domil » mer. 22 juil. 2009, 22:35

La notion de troc est intéressante mais elle exige la non-diffusion publique (le cryptage du fichier troqué ne suffit pas)
ça exige, entre autres, que ce soit celui qui propose un fichier au troc, de l'envoyer lui-même, sans faire appel à une technique de diffusion publique (pas de P2P). ça serait du mail, du ftp privé par exemple (l'expéditeur envoit sur le serveur FTP privé du receveur)

Elle exige aussi la légalité de la copie de l'oeuvre troquée.
Comment faire la différence entre un film légalement acheté avec les droits d'en disposer, sur un site et le rippage d'un DVD (copie illégale dès qu'on s'en défait) ? Si on est incapable de faire la différence, le troc ne sera qu'un autre système de partage qui sera majoritairement utilisé pour l'illégalité.

En fait, vu qu'on pourra toujours copier le film acheté avant de le troquer, le système sera obligatoirement un nouveau système de partage avec majoritairement du piratage. Sans licence globale ou quelque chose dans le genre, ça posera exactement les mêmes problèmes que ce qui se passe actuellement.

Le système est quasimment ce qu'on faisait chez les bouquinistes : on prend des livres, on les paye au prix de l'occasion et ensuite, on les ramène, on en reprend autant contre une somme dérisoire. Le système est génial : on garde les livres autant qu'on veut, on garde ceux qu'on a vraiment aimé, on rend les autres. Le tout pour un prix vraiment bas (je me demande si tous, ici, vous connaissiez ce commerce qui me semble avoir disparu. Avant, il y en avait au moins un par marché).
Mais il n'y avait pas de risque de piratage ...

Le troc ne serait possible qu'au sein d'une plate-forme commerciale mais ça, ça s'appelle le forfait (on paye une somme et on a autant de films qu'on veut avec un délai de garde déterminé dans le temps)

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Messagepar jbigwood2 » mer. 22 juil. 2009, 23:54

domil a écrit :

Le système est quasimment ce qu'on faisait chez les bouquinistes : on prend des livres, on les paye au prix de l'occasion et ensuite, on les ramène, on en reprend autant contre une somme dérisoire. Le système est génial : on garde les livres autant qu'on veut, on garde ceux qu'on a vraiment aimé, on rend les autres. Le tout pour un prix vraiment bas (je me demande si tous, ici, vous connaissiez ce commerce qui me semble avoir disparu. Avant, il y en avait au moins un par marché).
Mais il n'y avait pas de risque de piratage ...

Oui domil et ce commerce n'a pas disparu il existe encore plusieurs magasins ici à Bruxelles qui sont spécialisés dans la vente et l'achat de livres. Pas seulement des livres rares mais aussi de anciennes revues BD de seconde jusqu'à Xe main. Quant à savoir si lesdits commerces ne paient pas un forfait pour les droits d'auteurs une enquête discrète s'impose suffit de demander au gérant.

Sur ce bonne nuit

Amicalement et piratement :-)

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yveslouis
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Messagepar yveslouis » jeu. 23 juil. 2009, 02:42

Capt_Molk a écrit :Vraiment pas bête et marrante comme idée, finalement quelqu'un qui a acheté un seul film à la base, peut en regarder un différent tous les soirs. Mais n'y aurait-il pas moyen de faire une banque du troc ou est-ce bien le système dont vous parlez ?
Genre en s'inscrivant, on dépose "une oeuvre" dans cette banque (ou plus), on obtient un point pour chaque dépôt qu'on peut échanger contre une autre oeuvre, on la rend, à nouveau un point, échangeable de même, etc... Comme ça, on choisirait notre futur troc dans une banque d'oeuvres dispos (dès qu'elles sont remis en banque en fait) et ça éviterait de pénaliser ceux qui y déposent ou viennent "d'échanger" des oeuvres plus intimistes. Avec un nombre conséquent de gens ça pourrait être intéressant.
C'est faisable ça ?

Oui & juridiquement je sais te le faire pour toute l'europe... j'ai tout les outils législatifs etc ...
apres besoin d'un (ou deux) experts en JoomlaCode + soft P2P + compétence SSL + PGP (pour les clefs) + compétence Darwin QuickTime Server + OpenLazzolo ou Java....

Avec les soft opensource, pas tres difficile à faire.... pour le reste j'ai tout

kikou qui a encore pleins d'autres idées de pilote pour prouver qu'on peut passer de PIRATE à CORSAIRE... (les corsaires étaient des pirate sous licence d'un etat.... cherché l'idée : utiliser le systeme contre le système...)
Yves-Louis BOUMIER
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yveslouis
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Messagepar yveslouis » jeu. 23 juil. 2009, 02:54

domil a écrit :La notion de troc est intéressante mais elle exige la non-diffusion publique (le cryptage du fichier troqué ne suffit pas)
ça exige, entre autres, que ce soit celui qui propose un fichier au troc, de l'envoyer lui-même, sans faire appel à une technique de diffusion publique (pas de P2P). ça serait du mail, du ftp privé par exemple (l'expéditeur envoit sur le serveur FTP privé du receveur)

Je ne vois pas pourquoi : une banque de stickage centrale (avec P2P invistible pour le stockage.... réparti entre tous, mais non accessible... sans clef du serveur central), puis streaming online, sans dépot de DRM....

domil a écrit :Elle exige aussi la légalité de la copie de l'oeuvre troquée.
Comment faire la différence entre un film légalement acheté avec les droits d'en disposer, sur un site et le rippage d'un DVD (copie illégale dès qu'on s'en défait) ? Si on est incapable de faire la différence, le troc ne sera qu'un autre système de partage qui sera majoritairement utilisé pour l'illégalité.

Oui d'ou la mise en place d'une structure légale (SIREN etc etc etc... plus quelques astuces utilisable dans le droit associatif AlsaceMoselle...) et garant de la transaction du "bien culturel" (dématérialisation du troc) et un seul utlisateur par copie troquée...

domil a écrit :En fait, vu qu'on pourra toujours copier le film acheté avant de le troquer, le système sera obligatoirement un nouveau système de partage avec majoritairement du piratage. Sans licence globale ou quelque chose dans le genre, ça posera exactement les mêmes problèmes que ce qui se passe actuellement.

On peut blinder le système, avec la structure légale qui achète la licence pour les comptes des coopérateurs, et nous nous trouverions dans une situation de garantie ABSOLUE qu'il n'y a qu'une copie troquée.....

domil a écrit :Le système est quasiment ce qu'on faisait chez les bouquinistes : on prend des livres, on les paye au prix de l'occasion et ensuite, on les ramène, on en reprend autant contre une somme dérisoire. Le système est génial : on garde les livres autant qu'on veut, on garde ceux qu'on a vraiment aimé, on rend les autres. Le tout pour un prix vraiment bas (je me demande si tous, ici, vous connaissiez ce commerce qui me semble avoir disparu. Avant, il y en avait au moins un par marché).
Mais il n'y avait pas de risque de piratage ...

On peut FAIRE STRICTEMENT la même chose : la mise de fond (une action déductible des impots pour les imposables... j'adore : investissement remboursable par les impots.... lol)..... est de un "oeuvre culturelle" (mieux que bien culturel.... je fais des progres de dialectiques... promis, je vais y arriver... lol)... Ensuite, la valeur d'investissement culturel corresponds aux grains de sel de référence pour l'échange... ensuite, on se retrouve avec un système de troc limité par les copies que les utilisateurs veulent, un peu comme dans une location de videoclub : tu as ou pas la copie.... Sauf que le système est autogénérateur, à but non lucratif et dématérialisé... bref, légal, si 100% sous contrôle...

domil a écrit :Le troc ne serait possible qu'au sein d'une plate-forme commerciale mais ça, ça s'appelle le forfait (on paye une somme et on a autant de films qu'on veut avec un délai de garde déterminé dans le temps)

Oui, mais la on tomberait dans la VOD (vidéo on demand) ) location.... nous on parle de troc du "fichier support"... ce qui est largement autre chose, à but non lucratif et sans mettre de l'argent dans la transaction..... Avec un fichier diffusé à la foi...

Je pense que nous allons donné des idées ..... N'oublier pas le double droit de parternité : PP & yveslouis ... lol
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Messagepar djtarek » jeu. 23 juil. 2009, 08:32

Capt_Molk a écrit :Mais n'y aurait-il pas moyen de faire une banque du troc ou est-ce bien le système dont vous parlez ?

> C'est l'exemple que je soutiens mais qui exige un Rip initial
> L'identification aura pour but qu'en cas de contrôle juridique, l'auteur initial du fichier devra montrer le média original
> L'idéal pour éviter le piratage du premier media, c'est pas de média à ripper du tout. 1er achat en ligne, ce fichier pourra servir de Troc.
> Pas de problème de débit puisque tous les "biens" sont centralisés sur serveur. L'échange signifie changement de propriétaire uniquement.
Dernière édition par djtarek le jeu. 23 juil. 2009, 08:39, édité 1 fois.
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Messagepar domil » jeu. 23 juil. 2009, 09:11

yveslouis a écrit :
domil a écrit :La notion de troc est intéressante mais elle exige la non-diffusion publique (le cryptage du fichier troqué ne suffit pas)
ça exige, entre autres, que ce soit celui qui propose un fichier au troc, de l'envoyer lui-même, sans faire appel à une technique de diffusion publique (pas de P2P). ça serait du mail, du ftp privé par exemple (l'expéditeur envoit sur le serveur FTP privé du receveur)

Je ne vois pas pourquoi : une banque de stickage centrale (avec P2P invistible pour le stockage.... réparti entre tous, mais non accessible... sans clef du serveur central), puis streaming online, sans dépot de DRM....

si c'est une seule copie et donc un seul destinataire, il n'y a AUCUNE utilité technique au P2P qui n'a d'intérêt que s'il y a plusieurs sources. Le FTP est la solution technique.

domil a écrit :Elle exige aussi la légalité de la copie de l'oeuvre troquée.
Comment faire la différence entre un film légalement acheté avec les droits d'en disposer, sur un site et le rippage d'un DVD (copie illégale dès qu'on s'en défait) ? Si on est incapable de faire la différence, le troc ne sera qu'un autre système de partage qui sera majoritairement utilisé pour l'illégalité.

Oui d'ou la mise en place d'une structure légale (SIREN etc etc etc... plus quelques astuces utilisable dans le droit associatif AlsaceMoselle...) et garant de la transaction du "bien culturel" (dématérialisation du troc) et un seul utlisateur par copie troquée...

Il faut choisir : société ou asso de loi de 1908, on ne peut pas faire les deux. Une asso de loi de 1908 exige la domiciliation dans la zone géographique de ce droit

Mais ça ne garantit nullement que la copie est légale.

domil a écrit :En fait, vu qu'on pourra toujours copier le film acheté avant de le troquer, le système sera obligatoirement un nouveau système de partage avec majoritairement du piratage. Sans licence globale ou quelque chose dans le genre, ça posera exactement les mêmes problèmes que ce qui se passe actuellement.

On peut blinder le système, avec la structure légale qui achète la licence pour les comptes des coopérateurs, et nous nous trouverions dans une situation de garantie ABSOLUE qu'il n'y a qu'une copie troquée.....

Mais il n'existe pas de licence et même dans ce cas, je ne vois pas comment ça empêche qu'un client propose la copie au troc.

domil a écrit :Le système est quasiment ce qu'on faisait chez les bouquinistes : on prend des livres, on les paye au prix de l'occasion et ensuite, on les ramène, on en reprend autant contre une somme dérisoire. Le système est génial : on garde les livres autant qu'on veut, on garde ceux qu'on a vraiment aimé, on rend les autres. Le tout pour un prix vraiment bas (je me demande si tous, ici, vous connaissiez ce commerce qui me semble avoir disparu. Avant, il y en avait au moins un par marché).
Mais il n'y avait pas de risque de piratage ...

On peut FAIRE STRICTEMENT la même chose : la mise de fond (une action déductible des impots pour les imposables... j'adore : investissement remboursable par les impots.... lol)..... est de un "oeuvre culturelle" (mieux que bien culturel.... je fais des progres de dialectiques... promis, je vais y arriver... lol)... Ensuite, la valeur d'investissement culturel corresponds aux grains de sel de référence pour l'échange... ensuite, on se retrouve avec un système de troc limité par les copies que les utilisateurs veulent, un peu comme dans une location de videoclub : tu as ou pas la copie.... Sauf que le système est autogénérateur, à but non lucratif et dématérialisé... bref, légal, si 100% sous contrôle...

Tu parles de mettre ça sous statut d'association à but commercial et du dis ensuire "à but non lucratif" ? :)


domil a écrit :Le troc ne serait possible qu'au sein d'une plate-forme commerciale mais ça, ça s'appelle le forfait (on paye une somme et on a autant de films qu'on veut avec un délai de garde déterminé dans le temps)

Oui, mais la on tomberait dans la VOD (vidéo on demand) ) location.... nous on parle de troc du "fichier support"... ce qui est largement autre chose, à but non lucratif et sans mettre de l'argent dans la transaction..... Avec un fichier diffusé à la foi...

Mais il n'y a pas de support justement dans ce type de cas. A partir du moment où il est impossible de faire la distinction entre l'exemplaire acheté et l'exemplaire copié, le système sera largement utilisé pour le partage illégal.

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Messagepar djtarek » jeu. 23 juil. 2009, 11:28

Dans la pratique:

> J'achète un média en ligne, je le reçois sous forme d'un vrai support à domicile. Pas de copie du média en ligne.
> Je peux troquer ce média physique

Dans le virtuel:

> Si l'achat se fait sous la forme d'un fichier. Il reste donc en ligne. Bien sûr, une option est proposée pour le graver sur un CD/DVD.
> Je dois pouvoir transférer ce fichier en ligne dans une plateforme de Troc (serveur à serveur)
> Pas de problème de copie car la source a été identifiée comme fiable.
> Toute production personnelle à troquer devra être déposée sous le nom (réel) de son auteur
> Un modérateur peut tester aléatoirement une œuvre personnelle en Troc et demander plus de précision si nécessaire

Si l'idée du Troc est légale, on doit envisager toutes les voies possibles...
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Messagepar Résistance » jeu. 23 juil. 2009, 12:56

C'est vrai que le ftp avec une banque des oeuvres dispos semble le plus logique.

L'identification aura pour but qu'en cas de contrôle juridique, l'auteur initial du fichier devra montrer le média original

Oui, mais s'il garde le média original, il ne s'agit plus de troc, non ?
Ne pourrait-on s'appuyer tout simplement sur la "facture" pour garantir que l'oeuvre n'en est pas une piratée ?
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Messagepar djtarek » jeu. 23 juil. 2009, 15:15

Voilà pourquoi j'ai révisé mon idée de départ:

- Tout doit être dématérialisé. Du premier achat avec fichier en ligne jusqu'à son Troc.

Le problème :

- Pour une raison pratique, le fichier doit pouvoir être gravé si CD Jeux, CD application
- Ceci implique une copie
- L'idée du Troc est anéantie

Imaginons une plateforme où je peux acheter (pas louer comme le vod) un film ou de la musique et accessible uniquement en Ligne

- Chaque acheteur gagne un droit d'achat sur ce fichier unique
- Ce fichier serait disponible uniquement en ligne
- Pas d'option pour le télécharger (Pas de copie)
- La diffusion serait en streaming
- Diffusion accessible sur ordinateur, Box ou futurs baladeurs (Web/GSM)
- Je devrais pouvoir le troquer avec un autre média en Ligne
- Ceci implique une plateforme spécialisée de vente + Troc
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Messagepar domil » sam. 25 juil. 2009, 04:02

djtarek a écrit :- Chaque acheteur gagne un droit d'achat sur ce fichier unique
- Ce fichier serait disponible uniquement en ligne
- Pas d'option pour le télécharger (Pas de copie)
- La diffusion serait en streaming

et le jour où la plate-forme fait faillite, tous les acheteurs perdent le droit de consulter ce qu'ils ont acheté !
Imaginez que vous deviez rendre les disques achetés chez le disquaire du coin quand il a fermé :)
On perd aussi le droit d'écouter sa musique ou voir ses films quand sa connexion est en panne (et si ça arrive, on s'emmerde et c'est là qu'on a besoin de ses films), qu'elle a été suspendue, qu'on est en vacances, à l'hopital, dans le train etc.

On rale contre les DRM sur le CD qui empêche la lecture sur certains appareils, et là, on n'aura le droit que d'écouter via son ordi. Adieu la chaine hi-fi, le home-cinéma etc.

Sans compter la qualité pourrie car en streaming, la vidéo doit pouvoir aussi être lue par ceux qui sont toujours en 512K du fait d'une ligne pourrie.

Ta solution, il est pour l'ado urbain.

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Messagepar djtarek » sam. 25 juil. 2009, 15:32

Si une plateforme est en difficulté, elle se fait racheter par une autre plus grande ou une société plus ambitieuse.
Il s'agira d'une reprise de serveurs avec des milliers de clients et d'autres potentiels pour un marché toujours croissant.

Le streaming va en s'améliorant avec le très haut débit. Le très haut débit rentre déjà dans nos foyers.
Un flux vidéo en streaming peut s'ajuster en fonction de votre connexion. Si le débit est trop bas (de plus en plus rare), test puis achat impossible.
Lorsque je regarde aujourd'hui par exemple un VOD, il est aussi regardé par d'autres abonnés. Je ne suis pas gêné pour autant. Mon débit est classiquement de 7 Mb/s.

On considère que les modèles d'ordinateurs actuels seront obsolètes.

Nous achèterons une unité écran/processeur/internet et toutes les ressources (disque+applications) seront décentralisées: Sauvegardes, mises à jour
et sécurisations garanties par les hébergeurs. Accès de son unité PC via n'importe quel poste. Pour ou contre, ce sera ainsi.
Ne parlons même pas des fichiers multimédias.
Ma solution est l'avenir proche. Je ne suis plus ado depuis fort longtemps. Je suis dans le secteur informatique depuis 9 ans (6 ans dans les ordinateurs et 3 ans dans l'internet)
Dernière édition par djtarek le sam. 25 juil. 2009, 15:39, édité 1 fois.
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Messagepar yveslouis » sam. 25 juil. 2009, 16:11

domil a écrit :
yveslouis a écrit :
domil a écrit :La notion de troc est intéressante mais elle exige la non-diffusion publique (le cryptage du fichier troqué ne suffit pas)
ça exige, entre autres, que ce soit celui qui propose un fichier au troc, de l'envoyer lui-même, sans faire appel à une technique de diffusion publique (pas de P2P). ça serait du mail, du ftp privé par exemple (l'expéditeur envoit sur le serveur FTP privé du receveur)

Je ne vois pas pourquoi : une banque de stickage centrale (avec P2P invistible pour le stockage.... réparti entre tous, mais non accessible... sans clef du serveur central), puis streaming online, sans dépot de DRM....

si c'est une seule copie et donc un seul destinataire, il n'y a AUCUNE utilité technique au P2P qui n'a d'intérêt que s'il y a plusieurs sources. Le FTP est la solution technique.

Je pense que le principal intérêt TECHNOLOGIQUE du P2P est la possibilité de répartir le STOCKAGE des fichiers et l'USAGE DE LA BANDE PASSANTE. Il s'agit pour moi d'une technologie alternative des serveurs centraux, complémentaires à des technologies comme le Cloud Management ou d'autres techniques de virtualisation des serveurs. Si nous utilisons des serveurs P2P, par exemple sous technologies type PGP (invisible & crypté) ou sur des technologies de virtualisation en cloud managment, sur les ordinateurs des "membres coopérateurs", nous n'avons pas de stockage central des données (P2P), nous avons un service réparti de mise à disposition de FRACTION de fichiers et ces fichiers ne sont ouvrables que par une clef privé correspondant à la propriété d'usage du fichier... Ainsi, nous avons tous les avantages, sans les inconvénients de serveurs centralisés ET DES CHARGES D'EXPLOITATIONS REDUITES à 10 €TTC/an par mois pour environ 50.000 users simultanés + les frais d'ingéneries & de maintenant...
Ceci amène des charges d'exploitations avec le P2P en serveurs de distribution HTTPS d'environ 1 allopass par membre coopérateur par an (couvrant tous les frais techniques) + le prix d'une musique ou d'une vidéo (Prix publique HT), avec un point mort à 50.000 users/ccopérateurs.

Sans utilisation du P2P, nous sommes dans une situation de charge de 20 users simultanés à 5 Mbps pour une charge de 1 €TTC/an par Go de data.... nous aurions une charge d'exploitations 1 allopass par semaine pour tous les membres....+ le prix d'une musique ou d'une vidéo (Prix publique HT), toujours pour un point mort à 50.000 users et/ou morceaux.


domil a écrit :
yveslouis a écrit :
domil a écrit :Elle exige aussi la légalité de la copie de l'oeuvre troquée.
Comment faire la différence entre un film légalement acheté avec les droits d'en disposer, sur un site et le rippage d'un DVD (copie illégale dès qu'on s'en défait) ? Si on est incapable de faire la différence, le troc ne sera qu'un autre système de partage qui sera majoritairement utilisé pour l'illégalité.

Oui d'ou la mise en place d'une structure légale (SIREN etc etc etc... plus quelques astuces utilisable dans le droit associatif AlsaceMoselle...) et garant de la transaction du "bien culturel" (dématérialisation du troc) et un seul utlisateur par copie troquée...

Il faut choisir : société ou asso de loi de 1908, on ne peut pas faire les deux. Une asso de loi de 1908 exige la domiciliation dans la zone géographique de ce droit Mais ça ne garantit nullement que la copie est légale.

il existe plus de 500 formes juridiques utilisables en europe... personnellement, je penche plus pour les formes juridiques solidaires & coopératives (donc en France...). Ensuite, trouver des domicilitaiton, des comptes bancaires etc... pas tres difficile, certains d'entre nous font cela tous les jours ;-D... c'est notre métier... Ensuite, confondre support juridique de la structure & certification de la copie, heu, rien à voir... bien sûr...

domil a écrit :
yveslouis a écrit :
domil a écrit :En fait, vu qu'on pourra toujours copier le film acheté avant de le troquer, le système sera obligatoirement un nouveau système de partage avec majoritairement du piratage. Sans licence globale ou quelque chose dans le genre, ça posera exactement les mêmes problèmes que ce qui se passe actuellement.

On peut blinder le système, avec la structure légale qui achète la licence pour les comptes des coopérateurs, et nous nous trouverions dans une situation de garantie ABSOLUE qu'il n'y a qu'une copie troquée.....

Mais il n'existe pas de licence et même dans ce cas, je ne vois pas comment ça empêche qu'un client propose la copie au troc.

Il existe tout l'arsenal légal mis en place.... que nous utilisons.... Ainsi, nous retournons l'usage et la répression à notre usage, annulant de fait le bien fondé de ces lois liberticides... c'est cela le fin du fin : dans les principes de guerillas urbaines, ne nous apprends nous pas à retourner les armes de nos ennemis contre eux-mêmes....
Ne pas oublier deux "détails" du Parti Pirate : nous sommes respectueux de la loi et appliquons la loi applicable sur le sol national & européne... ni plus ni moins...... comme elle est.... et nous militons dans une parti politique pour avoir des élus pour changer la loi.

domil a écrit :
yveslouis a écrit :
domil a écrit :Le système est quasiment ce qu'on faisait chez les bouquinistes : on prend des livres, on les paye au prix de l'occasion et ensuite, on les ramène, on en reprend autant contre une somme dérisoire. Le système est génial : on garde les livres autant qu'on veut, on garde ceux qu'on a vraiment aimé, on rend les autres. Le tout pour un prix vraiment bas (je me demande si tous, ici, vous connaissiez ce commerce qui me semble avoir disparu. Avant, il y en avait au moins un par marché). Mais il n'y avait pas de risque de piratage ...

On peut FAIRE STRICTEMENT la même chose : la mise de fond (une action déductible des impots pour les imposables... j'adore : investissement remboursable par les impots.... lol)..... est de un "oeuvre culturelle" (mieux que bien culturel.... je fais des progres de dialectiques... promis, je vais y arriver... lol)... Ensuite, la valeur d'investissement culturel corresponds aux grains de sel de référence pour l'échange... ensuite, on se retrouve avec un système de troc limité par les copies que les utilisateurs veulent, un peu comme dans une location de videoclub : tu as ou pas la copie.... Sauf que le système est autogénérateur, à but non lucratif et dématérialisé... bref, légal, si 100% sous contrôle...

Tu parles de mettre ça sous statut d'association à but commercial et du dis ensuire "à but non lucratif" ? :)

petit rappel juridique : la finalité du but non lucratif est défini par le fisc et corresponds à des caractéristiques légales de non lucrativité et NON D'ACTIVITE....
Par exemple, la gestion à but désintéressé des organes de gestion (ce qui n'empeche pas par exemple des indemnisations limitées à 2/3 du smic en jetons de présences ou frais de misisons....) etc etc... oui, dans un des trois critéres il y a l'activité de l'organisme, en rapport avec le secteur marchand, mais il est tenu compte du modèle financier de mise à dispostion : pour les plus pauvres,... etc...
quand tu parles de "but commercial", tu définis une activité qui s'indcrit ou pas dans la concurrence du secteur marchand (2eme condition de la non lucrativité d'une association).... cela défini aussi si nous sommes imposables à la TVA (en fonction du volume d'activités..) ou redevable de l'impôts sur les Socités etc ...

Personnellement, je suis dans un modèle SOLIDAIRE, qui implique un mode de gouvernance basé sur un système démocratique (1 individu = 1 voix), collègiable (garanti de représentation des différents acteurs à l'objet de l'activité...), à propriété collective & inaliable de l'outil de travail aux coopérateurs & aux collaborateurs, le respect des droits d'auteurs (pour les contributeurs dans les oeuves multimédia et/ou dans les modèles d'organisation et de gestion), dans la possibilité d'associés tous les acteurs économiques en toute transparences (organismes à but non lucratif, organismes coopératifs & solidaires, organismes public, organismes marchand, consommateurs/usagers...)... Bref, le modèle d'organismes porteurs d'initiative tel que précauniser par les suédois et le PP-I, est qui chez nous se retrouve dans des formes juridiques comme les sociétés coopératives d'intérêts collectifs (SCIC voir : http://www.scic.coop/) ou des Groupements Coopératifs Sociaux et Médico-sociaux (GCSMS - voir http://www.groupe-sos.org/142/GIE-GCSMS ... Employeurs).... et quelques autres en fonction des missions et des activités qui sont portés....


domil a écrit :
yveslouis a écrit :
domil a écrit :Le troc ne serait possible qu'au sein d'une plate-forme commerciale mais ça, ça s'appelle le forfait (on paye une somme et on a autant de films qu'on veut avec un délai de garde déterminé dans le temps)

Oui, mais la on tomberait dans la VOD (vidéo on demand) ) location.... nous on parle de troc du "fichier support"... ce qui est largement autre chose, à but non lucratif et sans mettre de l'argent dans la transaction..... Avec un fichier diffusé à la foi...

Mais il n'y a pas de support justement dans ce type de cas. A partir du moment où il est impossible de faire la distinction entre l'exemplaire acheté et l'exemplaire copié, le système sera largement utilisé pour le partage illégal.

Je comprends ce que tu dis d'un point de vue "légale", puisque ce sont les arguments donnés par les majors actuels pour justifier des lois liberticides... Moi, et quelques autres, pensons que si l'on met à disposition des usagers des solutions légales et basées sur la responsablité, "gratuite ou à très faible prix" (entre 1 allopass par semaine à 1 allopass par an.... en fonction des modèles économiques... et de la quantité de partenaires/coopérateurs), nous pourrions avoir un modèle économique ALTERNATIF, relevant de l'intérêt collectif à finalité publique. Il y a aura tOUJOURS des personnes qui détourneront et volerons... Mais pourquoi VOLER quelque chose que tu peux avoir "quasi" gratuitement, sans prise de tête ????
Dernière édition par yveslouis le sam. 25 juil. 2009, 16:14, édité 1 fois.
Yves-Louis BOUMIER
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Délégué Général d'ONG de lutte contre toutes les discriminations - Boite à outils RSE pour les ONG & les Collectivités
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yveslouis
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Messagepar yveslouis » sam. 25 juil. 2009, 16:30

domil a écrit :
djtarek a écrit :- Chaque acheteur gagne un droit d'achat sur ce fichier unique
- Ce fichier serait disponible uniquement en ligne
- Pas d'option pour le télécharger (Pas de copie)
- La diffusion serait en streaming

et le jour où la plate-forme fait faillite, tous les acheteurs perdent le droit de consulter ce qu'ils ont acheté !

Globalement, cela aura couté aux coopérateurs les frais de gestion (1 allopass par semaine à 1 allopass par an...) et 1 musique (1 euros.....)..... Bref, la ruine pour beaucoup d'entre nous en Europe... je ne dis pas qu'au Sri Lanka, cela soit la même chose... mais bon... cela doit etre faisable...

domil a écrit :Imaginez que vous deviez rendre les disques achetés chez le disquaire du coin quand il a fermé :)

Et bien, nous vendrons les masters achetés.... ou nous transmettrons la totalité des masters à des bibilothèques publiques ou une asso d'afrique ou .... mais nous aurons profiter gratuitement d'un modèle économique que nous aurons EXPERIMENTE... car légal et pouvant PEUT ETRE être une solution pragmatique.... Revendiquer c'est bien... proposer, c'est mieux... Mettre en oeuvre, c'est initié un outil pour piloter notre avenir...

domil a écrit :On perd aussi le droit d'écouter sa musique ou voir ses films quand sa connexion est en panne (et si ça arrive, on s'emmerde et c'est là qu'on a besoin de ses films), qu'elle a été suspendue, qu'on est en vacances, à l'hopital, dans le train etc.

si nous restons sur des solutions de streamings, oui....

Aucune solution technologique n'est parfaite... sinon, il existe des solutions d'encapsulage PGP de fichier, sachant qu'il faut repasser le fichier à la "vente-troc" par le serveur, le serveur central réalise la transaction (bourse de troc) et renvoi le fichier avec la nouvelle clef du nouveau propriétaire...

Ensuite, si nous devons avoir des DRM, ou autres techniques imposés par la loi ou la licence originale, et bien nous la respecterons...

domil a écrit :On rale contre les DRM sur le CD qui empêche la lecture sur certains appareils, et là, on n'aura le droit que d'écouter via son ordi. Adieu la chaine hi-fi, le home-cinéma etc.
Sans compter la qualité pourrie car en streaming, la vidéo doit pouvoir aussi être lue par ceux qui sont toujours en 512K du fait d'une ligne pourrie.
Ta solution, il est pour l'ado urbain.

J'entends et comprends ce que tu dis... en afrique, nous avions des 36Kbps .... avec de la chance.... Si la loi dit des solutions techniques de protections des droits d'auteurs, et que c'est obligatoire, nous respecterons les cahier des charges techniques, car la loi est comme cela... Cela ne nous empechera de mettre en oeuvre des solutions légales....

Je renouvelle, nous pouvons parler des aspects techniques et les opposer aux solutions de distributions et opposer tout cela à nos revendications : à la fin, cela devient particulierement complexe pour des non initiés.

Pour moi et pour revenir aux fondamentaux :

1 - la loi autorise le troc : donc troquons des "choses", y compris les "choses" dématérialisés.

2 - Nous n'achetons pas un support mais une culture : nous réaffirmons notre portée alter-culturel et anti-trusts et monopoles.....

3 - nous nous engageons à respecter toutes les contraintes des lois nationales européennes, les directives européennes et les lois nationales où nos offres seront accessibles.

4 - nous utiliserons les contraintes techniques imposés par la loi, dans la mesure om l'on respecte la dissociation support / medium et culture : nous achetons UN DROIT D'USAGE, ET UN SEUL FICHIER APPARTENANT A SON PROPRIETAIRE LEGAL SERA UTILISABLE SIMULTANEMENT.

5 - nous ne nous inscrivons pas dans une diffusion de masse (webTV,...), location de n visiualisation d'une oeuvre culturelle (VOD,...), mais dans le respect de la cession des droits INALEIABLES de l'ARTISTE cédé A UN UTILISATEUR / USAGER / CONSOMMATEUR....

kikou
Yves-Louis BOUMIER
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