Sa fille, Sylvie, propriétaire de 40% des parts des éditions Albert-René s'est en revanche positionnée contre cet accord et compte entrer en résistance contre "une manipulation destinée à changer le cours naturel" telle qu'elle l'évoque dans une tribune publiée dans le Monde. "Je me battrai donc, non pas contre mon père, mais pour préserver tout ce qui l'a fait, tout ce qui l'a animé : son oeuvre imaginée à quatre mains avec René Goscinny", poursuit Sylvie Uderzo.
C'est moche, c'est laid... Pauvre Astérix. Condamné à être repris par des gens obéissant à des motivations purement commerciales mais interdit d'être utilisé par ses fans.
J'en ai presque envie d'écrire à Uderzo pour lui demander de mettre les droits sous une licence libre, mais je suppose que l'offre de Hachette ne laisse pas ce droit...