Je m’appelle Zac et je vis dans le Nord.
Je suis PDG d’une petite société ; et par ailleurs j’enseigne l’économie à l’Université.
Je décide de rejoindre le Parti Pirate parce j’y vois un espoir pour notre pays.

Il fut un temps où faire de la politique signifiait « agir pour son pays ».
Mais voici 40 ans que la classe politique nous démontre chaque jour l’inverse. Le pays est mal géré, il va de mal en pis.
Si un patron gérait son entreprise comme les politiques ont géré la France ses 40 dernières années, il serait en faillite depuis fort longtemps.
L’échec des partis traditionnels est patent. Ils sont sur le déclin.
L’action politique ne doit pas être affaire d’idéologie. En cela le concept « ni droite, ni gauche » du PP me convient bien. Ce qui importe est d’avoir des valeurs humanistes, et une bonne dose de tolérance.
En politique, je crois à trois idées fondamentales : action, humanité, liberté.
Action. Elle est le fondement de toute réussite, politique ou autre.
Le discours sans action, n’est que du rêve.
La reconquête d’un pays impose qu’on ait le sens de l’action.
Beaucoup pensent connaitre la solution aux problèmes.
Savoir, c’est bien. Agir c’est mieux. C’est même toute la différence entre un causeur et celui qui réussit.
Chaque homme ou femme politique devrait être jugé à son action, à ses résultats, et non à son discours.
Humanité. Parce ce que rien n’est possible sans les hommes, les femmes, la nature.
La nature donne, les hommes et les femmes agissent. Le résultat en a été notre civilisation.
L’oublier, s’est en oublier les fondements.
De fait les hommes, les femmes ont droit au respect, tout comme la nature à droit au respect.
Il ne fait pas bon vivre dans une société où ce respect n’existe pas. Respect des opinions, de la culture, de la religion, des origines raciales. Respect du bien d’autrui, de son travail, de sa fortune. Respect de l’environnement, des ressources naturelles.
Ce respect mutuel est la base sur laquelle se construit une société civilisée, équilibrée, saine.
La liberté. La France s’est battue pour les libertés, le pays a fait couler beaucoup de sang.
Rien ne saurait nous faire revenir en arrière, et certainement pas les extrémismes et démagogues de tous bords. La confiscation des libertés est le début du totalitarisme.
C’est pourquoi je milite aussi bien pour les libertés individuelles que pour la libre entreprise. Aussi longtemps que ces libertés-là n’empiètent pas sur celles des autres.