yveslouis a écrit :domil a écrit :djtarek a écrit :- Chaque acheteur gagne un droit d'achat sur ce fichier unique
- Ce fichier serait disponible uniquement en ligne
- Pas d'option pour le télécharger (Pas de copie)
- La diffusion serait en streaming
et le jour où la plate-forme fait faillite, tous les acheteurs perdent le droit de consulter ce qu'ils ont acheté !
Globalement, cela aura couté aux coopérateurs les frais de gestion (1 allopass par semaine à 1 allopass par an...) et 1 musique (1 euros.....)..... Bref, la ruine pour beaucoup d'entre nous en Europe... je ne dis pas qu'au Sri Lanka, cela soit la même chose... mais bon... cela doit etre faisable...
domil a écrit :Imaginez que vous deviez rendre les disques achetés chez le disquaire du coin quand il a fermé

Et bien, nous vendrons les masters achetés.... ou nous transmettrons la totalité des masters à des bibilothèques publiques ou une asso d'afrique ou .... mais nous aurons profiter gratuitement d'un modèle économique que nous aurons EXPERIMENTE... car légal et pouvant PEUT ETRE être une solution pragmatique.... Revendiquer c'est bien... proposer, c'est mieux... Mettre en oeuvre, c'est initié un outil pour piloter notre avenir...
domil a écrit :On perd aussi le droit d'écouter sa musique ou voir ses films quand sa connexion est en panne (et si ça arrive, on s'emmerde et c'est là qu'on a besoin de ses films), qu'elle a été suspendue, qu'on est en vacances, à l'hopital, dans le train etc.
si nous restons sur des solutions de streamings, oui....
Aucune solution technologique n'est parfaite... sinon, il existe des solutions d'encapsulage PGP de fichier, sachant qu'il faut repasser le fichier à la "vente-troc" par le serveur, le serveur central réalise la transaction (bourse de troc) et renvoi le fichier avec la nouvelle clef du nouveau propriétaire...
Ensuite, si nous devons avoir des DRM, ou autres techniques imposés par la loi ou la licence originale, et bien nous la respecterons...
domil a écrit :On rale contre les DRM sur le CD qui empêche la lecture sur certains appareils, et là, on n'aura le droit que d'écouter via son ordi. Adieu la chaine hi-fi, le home-cinéma etc.
Sans compter la qualité pourrie car en streaming, la vidéo doit pouvoir aussi être lue par ceux qui sont toujours en 512K du fait d'une ligne pourrie.
Ta solution, il est pour l'ado urbain.
J'entends et comprends ce que tu dis... en afrique, nous avions des 36Kbps .... avec de la chance.... Si la loi dit des solutions techniques de protections des droits d'auteurs, et que c'est obligatoire, nous respecterons les cahier des charges techniques, car la loi est comme cela... Cela ne nous empechera de mettre en oeuvre des solutions légales....
Je renouvelle, nous pouvons parler des aspects techniques et les opposer aux solutions de distributions et opposer tout cela à nos revendications : à la fin, cela devient particulierement complexe pour des non initiés.
Pour moi et pour revenir aux fondamentaux :
1 - la loi autorise le troc : donc troquons des "choses", y compris les "choses" dématérialisés.
2 - Nous n'achetons pas un support mais une culture : nous réaffirmons notre portée alter-culturel et anti-trusts et monopoles.....
3 - nous nous engageons à respecter toutes les contraintes des lois nationales européennes, les directives européennes et les lois nationales où nos offres seront accessibles.
4 - nous utiliserons les contraintes techniques imposés par la loi, dans la mesure om l'on respecte la dissociation support / medium et culture : nous achetons UN DROIT D'USAGE, ET UN SEUL FICHIER APPARTENANT A SON PROPRIETAIRE LEGAL SERA UTILISABLE SIMULTANEMENT.
5 - nous ne nous inscrivons pas dans une diffusion de masse (webTV,...), location de n visiualisation d'une oeuvre culturelle (VOD,...), mais dans le respect de la cession des droits INALEIABLES de l'ARTISTE cédé A UN UTILISATEUR / USAGER / CONSOMMATEUR....
kikou